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Marÿse de Courvalla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: LA SERVANTE AU GRAND CŒUR DONT VOUS ÉTIEZ JALOUSE Lun 16 Nov - 22:28 | |
| LA DERNIÈRE FAVORITE
| Marÿse de Courval nom : DE COURVAL, descendant d’une longue liste de noms d’emprunt, aux racines de cette douce France, patrie de naissance. Autrefois, elle était appelée la DUCHESSE DE FONTANGES, ou de Scorraille de Roussille, de son véritable patronyme. Celle ci n’est plus désormais, enfant destinée à l’oubli, inhumée à la chapelle de l'Abbaye de Port-Royal au Faubourg Saint-Jacques. ▲ prénom : MARŸSE, douce Marÿse, qu’elle eut voulu donner à sa descendance si elle était née fille et avait survécu. MARIE ANGÉLIQUE fut son prénom de baptême, la fierté de sa lignée. Jamais oubliée, divinement angélique. ▲ âge et date de naissance : On ne lui connaît le jour exact, mais elle naquit en JUILLET 1661, la même année que le Dauphin de France. 354 ANNÉES qu’elle arpente le monde, le visage de ses vingt ans figé à jamais, jusqu’à ce qu’elle se perde dans le marbre ou la pierre d’une statue. ▲ statut civil : SÉPARÉE, néanmoins MARIÉE aux Ténèbres, au Diable dans ses plus beaux atours. Il est sien depuis plus de cent années, elle n’est dévouée que dans les décennies décadentes. FAVORITE demeure son plus beau rôle, pouvoir indétrônable, la séduction de deux rois comme trophée. ▲ orientation sexuelle : Il fut un temps, où elle aurait répondu qu’elle n’aimait que les hommes. Temps révolu, meurtri par sa condition qui la laisse peu regardante sur ses papillons éphémères. Homme ou Femme, peu lui importe, les baisers n’ont pas de sexe… Seule la beauté compte. ▲ metier : PHOTOGRAPHE, voleuse d’immortalité, paysages éternels et cadavres de jeunesse. La douce éternise l’image qu’elle capture, quand ses paumes ont déserté la peinture d’antan. ARTISTE déchue à laquelle moins de la moitié d’un millénaire lui a permit de peaufiner le talent inné.▲situation familiale : ORPHELINE, le temps à laissé derrière lui les ravages. Le père et la mère ont disparu dans les griffes du chagrin, et nul frère, nulle sœur présents pour adoucir la peine capitale. Aucune descendance viable pour honorer la mère déchue… Aucun amour éperdu pour contrer la malédiction de la nymphe. ▲ Ton espèce : SIRÈNE, muse des eaux troubles et maudite, enchanteresse de la beauté au cœur brûlé. Un baiser contre la vie, tel est le marché pour que les pétales rouges caressent les lèvres de l’impur. ▲ traits de caractère : A belle rose, des épines vicieuses, à toute qualité, son parfait défaut. Ainsi va le monde, le bien par son contraire, le sourire par ses larmes, l’homme par sa femme, une équation qu’une simple humaine ne saurait déjouer. Délicieuse enfant sachant pourtant se montrer piquante, d’une amabilité à toute épreuve qu’un simple événement pourrait basculer dans les expressions mordantes, douceur candide et malgré tout sauvage. On la sait franche et pourtant réservée, glissant le regard sous une curiosité vivace sitôt bouleversée par le détachement, humeur variant au rythme de la météo, pétillante au soleil, mélancolique sous la pluie. Jeune femme appréciant les choses simples de la vie, attirée malgré tout par ce qu’elle ne peut que toucher par les prunelles. Son cœur s’étreint sous la tendresse, son corps pourtant se courbe sous la main qui malmène, fleur bleue autant que femme langoureuse, variant plaisir à spleen. D’aucun la qualifierait d’intelligente et de perfectionniste, d’autres d’aérienne et distraite, pas un ne saurait avoir tort, le tout se jouant avec modération. Jeune femme à la mine perpétuellement amusée et dont le ton n’en est pas moins amical. L’enfant sauvage aux manières pourtant bien éduquées, au vocabulaire variable, L’amante réservée, à la pudeur insoupçonnée, aux baisers meurtriers et enveloppés d’un désir inavoué. Une créature secrète dont la discrétion lui permet bien souvent l’évasion quand les ennuis pointent le bout de leur nez.▲ Que penses-tu des créatures ? : COMPASSION à ses frères et ses sœurs atteints des mêmes maux, CURIOSITÉ envers celles qu’elle a apprit à observer de loin. Les monstres sortent une fois le soleil caché, et tous répondent à l’invitation à la ronde de la nuit. ▲ groupe : PIGALLE ▲ crédits : o.dream & tumblr |
⟨1⟩ Elle demeure fervente croyante qui se confesse de ses crimes d’amour passionnel. Chaque dimanche la voit traverser le parvis de Notre-Dame pour prier l’amour du sacrifié, et plusieurs pièces glissées dans la sébile. ⟨2⟩ Chaque baiser est un cataclysme qui la laisse pantelante durant de longues minutes. La jouissance est au bord des lèvres et la cage thoracique se soulève d’une vie insoutenable. L’étreinte est une joie, puis une tristesse qui lui arrache une véritable perle salée. ⟨3⟩ De son passé ne demeure qu’un détail accrocheur, une trace physique qui aurait put confirmer « l’affaire des poisons » et la main de la Montespan. L’œil gauche porte la trace sanglante, une délicate tâche engoncée dans le bleu céruléen. ⟨4⟩ Il est arrivé une fois qu’elle oublie la faim, repousse le besoin, jusqu’à voir sa peau se ternir d’une nuance de pierre. Une expérience qu’elle n’a pas réitérée, pas encore prête pour accueillir l’extinction. ⟨5⟩ On la disait autrefois naïve et écervelée, un beau rôle qu’elle n’a pas conservé, laissant le monde capter d’autres personnalités. Candide dans sa mortalité, insaisissable dans sa longue existence. ⟨6⟩ Sa douceur a toujours aimé les macarons, elle se souvient avec nostalgies des délices de la cour du Roi Soleil, des feuilles d’or sur la petite pâtisserie. Et bien que la nourriture n’ait plus que goût de cendres en bouche, sa mémoire est suffisante pour raviver ses papilles. ⟨7⟩ Au cours de son existence prolongée, elle a apprit plusieurs nouveaux dialectes qu’elle n’utilise guère et semble avoir forgé son esprit de diverses connaissances intellectuelles. Un art de passer le temps comme un autre. ⟨8⟩ Elle a vu la mode défiler, la femme évoluer. Elle a adopté chaque détail d’une époque, a construit son propre style. Mais les corsets lui manquent, la langueur d’un long tissu qui glisse le long de son corps lui manque. Seules les grandes coiffures ne lui manquent pas. Pas plus que les nombreuses heures destinées à se préparer. ⟨9⟩ Elle fredonne souvent, des échos du passé ou des notes du présent. Elle a même apprit à jouer du violoncelle pour s’accompagner. La musique est une nécessité. ⟨10⟩ Hivernale, il n’est de saison qu’elle aime plus que tout. Le froid est vivifiant, la neige est un amusement perpétuel. Femme-enfant. ⟨11⟩ Contre vents et marées, elle l’a épousé, son Beau roi des ténèbres, s’empoisonne sous ses lèvres et conjure le bon goût. Cent ans, à l’image d’un conte de fée d’antan, avant de s’évanouir sous un autre chagrin. Un siècle avant de s’imaginer le tuer sans jamais pouvoir lui voler son immortalité. ton pseudo : o.dream ou tiphe, c'est au choix ▲ ton âge : majeure et vaccinée depuis un moment ▲ ton pays : France, le pays du du camembert et de la pièce montée ▲ ta fréquence de connexion : 4/7, peut-être moins quand je suis en stage, comme maintenant ▲ comment t'es arrivé ici ? un sexy vampire m'a montré le chemin, puis une fleur a prit le relais ▲ ton avis sur le forum : il est superbe !▲ un commentaire ? |
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Marÿse de Courvalla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: LA SERVANTE AU GRAND CŒUR DONT VOUS ÉTIEZ JALOUSE Lun 16 Nov - 22:28 | |
| LES DERNIERS INSTANTS D'UNE FAVORITE 1}ET VICE-VERSAILLES
« Madame, vous me demandez de me défaire d’une passion comme on quitte une chemise ! Vous ne connaissez donc rien aux mouvements de cœur ? » Tels furent ses mots, tandis qu’outrée, elle observait Madame de Maintenon. L’œil vif et les joues délicatement rosées par la colère d’un tel affront, quand elle ne faisait que plaire au Roi, lui attribuer l’insouciance de la jeunesse. Jalousie, elle en était entourée depuis que Louis XIV avait porté un regard bien plus long sur elle. Obtenir les faveurs du Roi est un art qu’il faut entretenir, et par la grâce de Dieu, elle possédait la beauté et la vivacité pour cela, ainsi qu’un autre cadeau grandissant en son ventre, et dont les contours ne tarderaient à être constatées. On l’avait élevée pour l’amour d’un Roi, inculqué les subtilités d’une jeune femme dans son essor… Elle s’en était admirablement sortie jusqu’à présent. Louis était sien, et les mois à venir le détournerait d’Athénaïs de Montespan, sa plus grande rivale. À la cour, tout n’est que complot et confession, mots doux et actes fielleux… elle l’avait apprit à ses dépends, et n’avait guère d’autre choix que de déjouer tout cela sans avoir le temps de rien. D’aucun disait qu’elle était sotte comme un panier, hélas, elle n’avait guère de temps à accorder à la réflexion ! Jeune et délicieuse comme un ange, elle se devait avant tout d’entretenir les apparences avant d’entretenir les longues conversations ennuyeuses. Politiques et ragots ne l’intéressaient pas, et seules les nombreux amusements de la cour parvenaient à changer la donne. La cour était un conte de fées… jusqu’à ce que l’on se rende compte qu’elle ne l’est nullement. Rien ne pouvait l’atteindre, elle était une reine en ce milieu, couronnée par le Roi Soleil lui-même.
Hélas, à vivre bien trop proche du Soleil, se brûle les doigts et en paie le prix fort. La douleur de la peine fut bien plus intense que celle de la délivrance. Les larmes ne se tarirent jamais, chagrin d’une mère à l’enfant ayant déjà rejoint le ciel. Un chagrin qu’il lui fallut pourtant contenir, car la joie de la cour ne peut s’interrompre pour le malheur d’une maitresse royale. Hélas, rien ne fut plus jamais heureux, goût de cendres sous ses lèvres, chaleur intense au visage, fièvre saisissante et sang coulant sur ses cuisses. Les mois passent et le Roi se détourne, la délaisse, se lasse comme il le fait si souvent. Son inconstance est un affront qui la blesse et l’incite à se languir de lui. Éloignée, mais pas moins oubliée, jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus aller à la Cour, jusqu’à ce que la faiblesse l’empêche de quitter le lit. « Je meurs contente puisque mes derniers regards ont vu pleurer le roi ! » ses mots face à la peine de son premier amour, au soleil éclairant ses nuits. Ce fut bien le chagrin qui l’emporta, aidé par la maladie. D’une peine de cœur aussi vive que l’amour qu’elle éprouva. Une peine pourtant portée par le poison, l’indétectable qui vint ternir ses veines et assombrit son cœur. La Montespan avait gagné, et le seul indice de son méfait fut celui que l’on ignora.
2}I DON'T WANNA BE NEEDING YOUR LOVE
Le réveil fut brutal, insoutenable, et la peur bien plus encore. La veille s’était sentie faible, endormissement sous les larmes. Elle s’était assoupie et entrevu le paradis avant d’en être brutalement arraché. Ses prunelles caressant le contour des lieux qui en rien ne ressemblaient à ses appartements. Pour quelle obscure raison se trouvait-elle dans un lieu si semblable à celui que l’on trouve chez les médecins avides de savoir et peu respectueux du corps humain ? Marie Angélique se redresse et le drap glisse sur sa peau nue, attise sa frayeur et alerte une silhouette cachée de l’autre côté. C’est un jeune homme qui apparaît, aussi étonné qu’ébahie. Est-ce un miracle ou la facétie du Diable ? Il a tort de s’approcher, car l’attraction fait son effet. Et bientôt, les doigts de la douce s’égarent sur son visage, caressent ses traits pour les apprendre. Elle meure d’envie de l’embrasser, tout autant qu’il rêverait certainement qu’elle le fasse, assourdissant besoin qui varie sous ses tempes, pulse en ses veines. Elle a besoin de l’embrasser, de s’emparer de lui pour confirmer qu’elle est vivante. Ses lèvres capturent et dévorent, elle sent l’amour glisser sur sa langue, réchauffer chaque particule de son être, et quand elle relâche l’amant éphémère, c’est un long soupir de jouissance qui s’évade de ses lèvres gonflées, la laisse pantelante quand l’autre se laisse tomber au sol, silencieusement. Un regard amusé envers lui qui se mue bientôt en frisson d’horreur, puis en cri effrayé. Un autre accoure sitôt, silhouette féminine cette fois, et qui n’a pas le temps de crier à l’aide pour se retrouver sous la même position que son partenaire. Est-ce le cadeau de Dieu que de lui offrir la chance d’une seconde vie ? Ou est-ce sa cruelle punition pour tester ses choix ? Mais la belle Marie Angélique veut vivre, et ses lèvres s’emparent cruellement de la vie, ses doigts agiles déguisent le corps décharné de sa dernière victime pour la laisser à sa propre place. De Fontanges n’est plus, et personne ne pleure sa mort. Aussi sotte qu’un panier soit-elle, l’intelligence la pousse à se déguiser et quitter Paris, se détourner de Versailles. Elle n’y reviendra qu’à la presque mort du Roi, se glissant par les passages qu’elle connaît si bien pour lui rendre visite. Pour le reste de sa vie, se retire et s’amuse de nouveaux rôles qu’elle invente, cède à la famine dévorante puis expérimente cette faim nouvelle. Ses amants sont éphémères, et n’ont pas le temps d’accéder au plaisir suprême. Elle rie et pleure, étudie et s’amuse… Celle que l’on surnommait sotte n’est plus qu’intelligence aiguisée, un mystère de plus. Les années s’écoulent, elle assiste au déclin puis la renaissance. Et trois siècles se sont écoulés, dont un qui l’a connu mariée, amoureuse, affectionnée, prête à s’empoisonner lentement pour l’amour d’un autre Roi. Un Seigneur dont bientôt elle se sépare, amoureuse mais lassée. Et Paris revient à la charge, belle dans son évolution et pourtant semblable à celle qu’elle a connu. |
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Montague Rochasla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: LA SERVANTE AU GRAND CŒUR DONT VOUS ÉTIEZ JALOUSE Mar 17 Nov - 12:41 | |
| Que de bons choix Bienvenue parmi nous! |
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Hyacinthe Durerla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: LA SERVANTE AU GRAND CŒUR DONT VOUS ÉTIEZ JALOUSE Mar 17 Nov - 13:18 | |
| Tu as choisi Barbie ! J'avoue que je le préfère à Rosie Mais ça lui va bien d'être une ancienne concubine du roi en plus, je me demande... gargouille ou vampire ? Quoi que c'était une question idiote, c'est bien une vampire magnifique comme le soleil Et déjà d'en faire une femme qui a vécu à Versailles je suis hyujfbhfr je veux un lien ! Bienvenue chez toi |
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Marÿse de Courvalla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: LA SERVANTE AU GRAND CŒUR DONT VOUS ÉTIEZ JALOUSE Mar 17 Nov - 17:00 | |
| Merci à vous deux Je tâche de finir ma fiche au plus vite ! HYACINTHE CHERIE — Rosie restera toujours mon coup de cœur voyons ! Mais Barbie dégagera toujours ce côté poupée de porcelaine qui correspond si bien à une demoiselle de Versailles… Et… FAUX ! T'as TOUT FAUX sur tes deux choix. HIIIN. Tu viens de perdre 4000 rubis ! C'est une sirène ö (et j'expliquerai sa mort comme il se doit … enfin, en trois lignes quoi.) Mais tu as ton lien d'office va… je t'arracherai des baisers comme on arrache les plumes d'un ange |
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Mahaut Daumla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: LA SERVANTE AU GRAND CŒUR DONT VOUS ÉTIEZ JALOUSE Mar 17 Nov - 17:19 | |
| C'est quoi cette sirène diablement fourbe et magnifique ? Et ta plume, tu permets, je vole quelques mots La suite arrive bientôt ? Ce n'est pas le tout de vendre des paillettes, j'en veux plus |
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Milo Combesla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: LA SERVANTE AU GRAND CŒUR DONT VOUS ÉTIEZ JALOUSE Mar 17 Nov - 18:49 | |
| Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ! |
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Arthur Verlacla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: LA SERVANTE AU GRAND CŒUR DONT VOUS ÉTIEZ JALOUSE Mar 17 Nov - 18:56 | |
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Marÿse de Courvalla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: LA SERVANTE AU GRAND CŒUR DONT VOUS ÉTIEZ JALOUSE Mar 17 Nov - 19:08 | |
| MAHAUT — Je te permets belle dame ! La suite arrive, petit bout par petit bout… (quand je ne suis pas accaparée par Versailles… Cette série tombe comme qui dirait… à point nommé ) Mais… Quelle pression maintenant ! J'ai peur d'écrire n'importe quoi maintenant MILO — Merci jolie gargouille ARTHUR — C'est plutôt elle qui va avoir de la concurrence (Cet avatar est une tuerie, la célébrité de même… mais c'est horrible, j'ai l'impression de voir Leonardo D. dessus… À m'en faire buguer pendant quelques secondes.) |
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Beau Caligarila nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: LA SERVANTE AU GRAND CŒUR DONT VOUS ÉTIEZ JALOUSE Mar 17 Nov - 19:44 | |
| J'aime quand les sirènes belles à se damner me courent après, c'est fort charmant ô toi, ça fait plaisir de te voir complètement craquer, je veux et j'exige... (moi tyrannique ? du tout) un lien de folie. Ta plume m'avait grave manquée, miss chefs-d’œuvre. |
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Calla Pettersenla nuit je mens, à Paris je me fonds | | | |
Marÿse de Courvalla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: LA SERVANTE AU GRAND CŒUR DONT VOUS ÉTIEZ JALOUSE Mer 18 Nov - 11:57 | |
| BEAU — Tyran oui, mais seulement de mon cœur consumé ! Tu as ton lien et crois-moi, je ne te lâcherai plus jamais, jamais ! On va s'aimer ! Sous les étoiles ou sur un oreiller ! -SBAF- CALLA — HANWN. MERCI Ton personnage m'a aussi interpellé (Matilda, j'aime Matilda, mais ai eu trop peu d'occasion de l'interpréter). Je viendrai très certainement réclamer un lien dès que ce sera possible ! |
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Hyacinthe Durerla nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: LA SERVANTE AU GRAND CŒUR DONT VOUS ÉTIEZ JALOUSE Mer 18 Nov - 13:15 | |
| J'ETAIS PERSUADEE QUE C'ETAIT UN VAMPIRE ! Vas-y je vais bouder un peu d'avoir perdu, normalement je ne perds jamais au jeu des devinette Bon ok presque toutes nos créatures sont immortelles donc c'est un peu... C'est pas une bonne base pour deviner Je me demande comment elle est morte du coup |
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Rubens Herschella nuit je mens, à Paris je me fonds | Sujet: Re: LA SERVANTE AU GRAND CŒUR DONT VOUS ÉTIEZ JALOUSE Mer 18 Nov - 16:11 | |
| BIENVENUE CHEZ TOI Une belle sirène Mademoiselle qui ne vit que pour le regard d'un roi, se fâne lorsqu'il se découvre une passion pour d'autres qu'elle. C'est diabolique comme idée, pauvre petite abandonnée, rejetée et condamnée . D'une amoureuse, elle passe vers la succube, qu'elle n'embrasse pas tous les garçons de Paris Joli personnage que voila Félicitations, tu es validé(e). Avant de franchir les portes de Florence, voici quelques conseils qui pourront t'aider à survivre. D'abord, il te faut VÉRIFIER TON AVATAR DANS LE BOTTIN pour avoir la certitude qu'aucun double, maléfique ou bénéfique, ne vienne te voler ton visage. Ensuite, tu peux aller CRÉER TA FICHE DE LIENS ET DE RPS afin de ne pas terminer en âme noire et solitaire. Pour ce faire, tu peux aussi CRÉER UN SCÉNARIO et peut-être retrouver un visage de ton histoire, une personne avec qui survivre et mourir dans ce chaos. Enfin, si tu veux te détendre et oublier les sombres mémoires du passé, tu peux aller FLOODER avec les autres florentins. Mais n'oublie pas, il faut toujours se méfier de son voisin, ici. Alors, bon courage et bon jeu. |
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